Chapitre 13
Hello, Goodbye, 3ème et dernière partie
Résumé du chapitre 13, Hello, Goodbye, 1ere et 2ème partie On a vu : Juliette Voisine accoucher l'héritier de Gontran Quiquineur. Bonjour Bertrand ! Hélène Quiquineur reprendre du poil de la bête, re-bonjour, Hélène Héfast... Réjane Quiquineur s'essayer à la drague et foirer lamentablement, puis... Yohan Abolisant avouer qu'en fait, il l'aime bien mais en a peur. Lou Anne Abolisant renier sa nature d'aspiration amour, pour l'instant. Julian Abolisant et Anne Honyme à la fac, Chip Endale faire tout plein d'efforts suivre le "power" de sa femme, Fleur tomber enceinte et accoucher de Lothar Y. Mais on a pas vu : Les 1ers pas des bambin si attendrissants, les 1er baisers des ados,avouez que c'est frustrant, ou la raison du titre de ce long chapitre... mais ça c'est pas marrant. Attachez vos ceintures, c'est parti pour 173 images ! |
Anne est la coqueluche de la fac. |
Enfin, des hommes. Un petit compliment... |
Et vas-y que je te rédige une dissertation. |
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Bon d'accord, la vache ne l'aime pas... mais elle n'est pas une menace sérieuse, alors que tous les autres ! Si. |
Tenez par exemple, Julian aime donner de l'argent à Anne... pour regarder sous sa jupe. |
Et bien il n'est pas le seul, loin de là ! |
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Julian essaie de se calmer, |
De rester maître de lui même en toute circonstances... |
.... mais la jalousie le ronge. |
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Alors le jour où un prof s'y met, lui aussi.... |
il prend des mesures radicales. |
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Et bien sûr, le crie haut et fort sur tous les toits et.. à tous les mâles de l'université, on ne sait jamais. |
La fin de l'année arrive, et Anne doit passer son examen en pleine nuit. Bonne chance, mon ange. |
Rongé par le trac par procuration, Julian ne peut dormir. |
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Arrête de frotter comme un malade, Julian, elle a réussi haut la main, j'te dis ! |
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Il faudra que la vérité lui saute au... cou, pour que Julian rende sa place au pauvre employé de la cafét qui tournait en rond depuis une heure. |
Enfin libre ! Anne va pouvoir rentrer fêter sa réussite chez ses grand parents. |
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Comment vont-ils, d'ailleurs ? Tu te demandes à quoi il rêve, Cornelia... Il rêve de toi, bien sûr ! |
Chip s'est fait un ami pas comme les autres... Mais lui il l'aime c'est pas d'sa faute. |
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La carrière politique d'Ambroise s'envole. Il faudrait juste que ces foutus journalistes cessent de se tromper de nom dans leurs articles, et ce serait le paradis. |
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Comme il est très occupé par ses électeurs, c'est Chip qui fête l'anniversaire de Lothar. |
Oh ! Quel beau bébé ! |
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Oh ! Quel b.... Disons qu'il ressemble à son père, mais avec un air plus intelligent. |
Alors mon poussin, c'est comment la vie de bambin ? Mamie Cornelia est fantastique. Elle devine toujours tout ! |
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Papi Chip a plus de mal, mais il fait de son mieux. |
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Il a même essayé de m'apprendre à marcher, mais on faisait beaucoup de pauses, pour que je souffle, qu'il disait. |
Je crois qu'il préfère me peindre que de me porter... |
Avec Mamie Cornelia, c'est plus facile. Elle rate pas les biberons, elle sait tout faire. |
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Chip, bon sang, je te l'ai dit cent fois ! C'est quand même pas compliqué de repérer la caméra ! |
Aha ! Pas la peine de te cacher derrière ton mari, toi, je t'ai vue ! C'est du propre, tiens, de lui apprendre à dire "mamie" avant "maman".... |
Après, faut pas s'étonner... |
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Ah, Anne est enfin arrivée, on va pouvoir fêter sa réussite. Je sais qu'on dirait pas comme ça, mais... |
...en fait elle adore que son grand-père la chatouille. Elle a juste passé l'âge de l'admettre. |
A peine rentrée du boulot, Fleur installe son fils au fond du jardin pour un grand pique-nique en l'honneur d'Anne. |
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Hé ! Mais je ne me rappelle pas l'avoir invitée à la fête, celle-ci ! |
Ben qu'est-ce qu'ils ont tous à pleurer, Zolie ? |
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Quand on enlève les cris déchirants, c'est presque une jolie scène... |
Chip semble le penser en tout cas, et s'installe confortablement pour le spectacle. |
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Oh ! Une valise ! C'est gentil d'y avoir pensé. t'as mis mon caleçon à rayures, dedans ? |
Bon, ben, à la vôtre ! Chip, je boirais pas ça à ta place... |
Hélène Héfast a trouvé plus fort qu'elle. Une signe de la main, et Chip suit sans broncher. |
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Anne arrive sur ces entrefaites. Comme elle est invitée dans la maison, je ne peux en rien contrôler ces réactions, et je n'ai aucune icone indiquant ce qu'elle fait. Elle s'approche illico de la tombe, et pousse un cri si déchirant que sa grand-mère écarte le bambin, et que je me prend à regretter de jouer avec le son. |
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C'est sans compter que tu lui a appris à marcher, Cornelia ! Ni une ni deux l'enfant s'approche, tu aurais du le poser plus loin... Mais la douleur t'égare, sans doute. |
Re : Quand on enlève les cris déchirants, c'est presque une jolie scène... |
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Et que fait Ambroise, pendant ce temps ? Il calcule l'héritage, le ch...acal. |
La nuit tombe, et je fais l'erreur d'espérer que les 3 pleureuses vont retourner à leurs affaires... Que nenni. |
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Je force les autres à s'éloigner, mais je ne contrôle pas Anne... Tout d'un coup, jouer à la Déesse est beaucoup moins divertissant. |
Alors je lui construis un magnifique cimetière, à mon Chip, en espérant consoler ma blonde. |
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Mais rien ne semble calmer sa colère. Poings serrés, elle me toise. Je veux ma mômaaaan ! |
Ca n'en finit pas ! J'envoie Ambroise chatouiller Lothar qui est totalement dans le rouge, le pauvre. Mais Anne est inconsolable. |
Et si Fleur allait la câliner, pour faire diversion ? Dis, Zolie, tu me prends pour une cruche ? |
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Bon, on va essayer autre chose. Ambroise pose le bébé parterre, et influence Anne pour qu'elle s'en occupe. |
Yeepee, ça marche ! Sauf que c'est Fleur qui s'y colle, maintenant... J'en ai pour la nuit, on dirait. |
Allez, j'ai plus d'un tour dans mon sac. Lothar réclame à manger, ça devrait l'occuper. |
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Quant à Fleur... Elle jardine. On gère son deuil comme on peut. |
Ensuite elle fait le ménage... |
Et finit de mémoire le portrait du défunt. |
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Mais dans tout ça, c'est son fils qu'elle délaisse. Et ne venez pas me dire qu'il est trop jeune pour comprendre, hein. |
_ Bonsoir madame, ici c'est l'assistante sociale. Zolie me dit de vous dire que vous pouvez l'invectiver tant que vous voudrez, mais vous allez vous occuper de votre fils, et fissa ! |
J'aime mieux ça. |
La magie de l'enfance : un câlin de maman et tout s'arrange. (Dieu qu'il ressemble à son père ! ) |
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Mais tout le monde n'est pas si facile à consoler. Sans vouloir paraître pathétique, je crois que c'est en voyant Cornelia se coucher seule que j'ai pris conscience de la disparition de mon vieux héros... |
Ca, et le tableau de Chip. "Action impossible", qu'il me dit. En effet, ça résume assez bien la situation. |
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Allez, c'est trop triste, on ne va pas ce quitter comme ça. Allons voir si Julian passe de meilleures vacances d'été que sa Dulcinée. |