Chapitre 2

1er

 

 volet :

 

Retournons chez Chip Endale :
Chip est en train de lire la gazette de Studio city. "Grrr ! " Songe-t-il en son fort intérieur, (Dieu que j'écris bien...) " ce malotru ne mérite pas ma Cornelia ! " Tiens, mais qui donc vois-je par la fenêtre ?

Cornelia ! Elle est passé par là, sans savoir qu’il était revenu s’installer chez son père. On va lui cacher qu’il a lamentablement échoué à Washington, ok ? Ce serait pas gentil pour Chip de lui casser sa baraque.
Son mari est un homme important qui porte la cravate. Et lui il est juste content de la voir, même si elle parle de cet enf…ant de chœur. Nous ne voyons pas d’autre explication.
Au bout d’un long moment sims, (à peu près 30 secondes) il n’y tient plus et lui avoue ses sentiments. Gontran Kikineur est un voleur de fiancée, et pis c’est tout. 
_ Quoi ! Mais c’est toi qui es parti faire fortune à Washington ! Moi je m’en fichais comme de mon 1er corset ! D’ailleurs, vu le résultat tu aurais mieux fait de ne pas y aller. (oups, elle le savait déjà)

_ Ah, mais je ne pouvais pas demander ta main sans le sou. 
_ Bougre d’âne. En tout cas s’est le passé, et on s’est retrouvés. On peut être amis si tu veux. 
( on va dire que c’est ça qu’elle a dit, ok ? Je ne contrôle pas de quoi parlent les sims au moment où ils deviennent potes et je voudrais pas que vous pensiez que Cornelia est vénale, ça ficherait toute mon histoire en l’air !)

2ème

 

 volet :

 

  Entrons maintenant dans la vie d’ELéonore Marolex, épouse Cébégais. (cherchez pas) ELéonore est une actrice très sophistiquée, elle porte des talons même pour dormir.


Elle est mariée à Barnabé… j’attends que vous percutiez… a y est ? Ok, on continue : Barnabé, donc, le meilleur ami de Gontran. Il est chirurgien plastique, c’est grâce à lui que Gontran a encore des cheveux. 

Ils habitent une maison fort sympa, mais ELéonore la trouve un peu petite. (franchement, vous avez pas des fois l'impression que vos sims crachent dans la soupe ?)


Elle aussi à un majordome, malgré la « petite » taille de sa maison. Mais c’est une question de standing, voyez-vous. (Non, Copine, le monsieur n'est pas très très malpoli. Si tu avais Superstar tu saurais qu'il est juste en train de vérifier les poussières.)
ELéonore et Gontran partagent les mêmes ambitions de célébrité, peut-être est-ce pour cela qu’ils complotent souvent pour faire réagir le paparazzi de service…


…Et ça marche.
Oups, ça lui fait de l’effet à Gontran. J’en profite donc pour vous annoncer que tout ça c’est pas QUE pour les paparazzi, et qu’il échangent souvent des baisers passionnés, même quand y a personne. (Je le sais, je les ai vus)

3eme volet : quelques jours plus tard, Cornelia et Gontran vont faire du shopping. Cornelia s’achète une « jolie » chemise de nuit dans l’espoir de reconquérir Gontran. (ben voui, après la photo du paparazzi… elle se doute d’un truc… Elle pas SI cruche que ça)
_ Vous croyez que ça plaira à mon mari ? 




Le vendeur répond « bien sûr ! Vous êtes divine, madame » et se frotte les mains. Jamais il ne s’est empoché 75 simoléons aussi facilement.


A la recherche de son mari au rayon homme, elle croise Chip. 
_ Ah, toi aussi tu te mets aux cravates ?


Les voilà partis pour un éclair au chocolat au café du coin, et pour une fois Cornelia ne remarque pas que son mari n’a pas les yeux dans sa poche… Chip, lui au moins, n’a d’yeux que pour elle. 
Sa bonne humeur retombe aussitôt rentrée… Voilà encore les conséquences de la célébrité de Gontran : ce fou qui tourne sans arrêt autour de la maison et se jette à ses pieds lorsqu’il l’aperçoit.

Mais c'est qu'il s'accrocherait, le bougre !

Sur le coup de la colère, elle vire le majordome. Totalement inutile celui-là ! Chasser les visiteurs, tu parles ! ( en plus il ne cuisine que des steaks haricots verts, c’te nouille)

Elle fait un rôti de porc bonne femme à sa petite fille ( quand vous voulez, le nom!). Eh oui, elle sait se servir d’un frigo téléchargé, elle.

Dernier

 

 volet :

 

 Découvrons à présent le dernier personnage de cette histoire : (enfin je m’avance peut-être un peu, là)
Ah ! Nous prenons Hélène Hefast au saut du lit. Oui, vous l'avez déjà vue...

(La prod a adoré son interprétation de Joanne O'Connells dans Six et Plus si affinités)



Et voui, elle a changé de coiffure. (zêtes perspicaces, vous !) C'est qu'elle a une idée derrière la tête... Des nattes lui donneront l'air plus innocent.
Note de Copine: quand Eniger s'en mêle, ça fait du joli travail quand même!
Voyez-vous, Hélène est fin stratège (il faut dire qu'elle lit beaucoup la gazette de Studio City, ça aide) Et pour une starlette en quête de célébrité, quelle meilleure stratégie que de séduire notre Gontran ? Hein ? Oui je sais, elle est néf....machiavélique.

Elle sait qu’il l’a remarquée au centre commercial, mais pour approcher notre Don Juan, il lui faut une tenue adéquate. Elle a bien songé à se faire embaucher comme bonne, mais le noir n'est pas sa couleur. (Si vous ne savez pas encore quelle est sa couleur, je ne peux plus rien pour vous.)
Elle prend un bon bain parfumé... SANS bulles.

 

 

Psssst! Où a-t-elle mis ses vêtements? Dans le panier à linge sale ou au pied du lit?

Et maintenant la tenue... Il lui faut un style sage et sexy à la fois. Un vrai rôle de composition. Nan, trop vieillot, il a déjà ça à la maison. (faites pas cette tête, vous avez vu le nom de cette fille, vous êtes prévenus)
Hum, pas mal, mais ça va pas avec les nattes. Evitons le côté sulfureux, nous ne voulons pas lui faire peur... 
On a dit mignon, pas Heidi ! 
Et pourquoi pas Mata Hari tant qu'on y est ? Rien à faire, faut aller faire les boutiques. Quoi ? Ca se voit pas ? Elle a RIEN à de mettre !!!
Hop ! un petit tour dans une boutique de 
la vieille ville, ça évite de payer le taxi. Bon ben on attendra d'être star pour celle-ci, hein...
Celle-ci devra faire l'affaire. C'est quand on cherche un truc précis qu'on le trouve pas, pfff.
L’épisode s’arrête là, merci d’avoir fait du shopping avec nous. Nous laissons Hélène mettre au point les derniers détails de son plan dans son bar préféré. Le premier qui demande « pourquoi c’est son bar préféré ? » se prend une pichnotte.
   

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